Le prologue

par **Ever DragonNoir** Mar 24 Juin - 18:18

Hailey, une jolie jeune fille aux cheveux brun foncé et aux yeux bleus, était assise sur un banc de parc, relaxant suite à une dispute avec son petit ami. La nuit était tombée et le lampadaire illuminait l'endroit où elle était. Ses bras étaient croisés sur sa poitrine et son regard fixait le petit lac au milieu du parc. Seul le bruit d'un hibou qui ululait brisait le silence de la nuit.

Soudainement, elle entendit des voix derrière son dos. C'était des voix de garçons et de filles et elle sembla les reconnaître. Un groupe composé de garçons et de deux filles riaient et chuchotaient dans la noirceur de la nuit. Ils approchèrent du banc et, après quelques secondes, ils furent éclairés par le lampadaire. Tous avaient un sourire aux lèvres, mais leurs yeux était plein de méchanceté. Une des filles s'approcha d'Hailey.

- Salut Hailey ! dit la plus grande des deux filles. Que fais-tu, seul dans le parc ?

Celle-ci tourna la tête vers le groupe de jeunes derrière elles. Le coeur de Hailey devint plus rapide et elle commença à être nerveuse. La jeune fille sur le banc regarda en direction des deux autres filles et fronça les sourcils. Elles continuèrent de rire et se jetèrent un regard en coin. Elles vinrent s'asseoir sur le banc, une chaque côté de Hailey. Une des filles qui se prénommaient Sarah mis sa main sur le bras droit d'Hailey et lança un regard aux garçons en arrière d'elles. Hailey s'attendait au pire, mais n'eut pas le temps de réagir. Les deux filles se levèrent et les garçons prirent la jeune fille par les vêtements et la coincèrent contre un arbre....

***

Vladimir était acoté sur un poubelle dans une ruelle. Ses cheveux brun foncé semblait ne pas avoir été lavé depuis des années. Il avait un air sérieux et ses sourcils étaient froncés. Il attendait en silence et regardait parfois autour de lui a certains moments. Il portait un kangourou noir et des jeans bleu. Dans sa poche de kangourou, un briquet et des cigarettes attendaient d'être utilisé.

Après cinq minutes, deux ombres apparurent au bout de la ruelle. Une des ombres semblait avoir un objet dans la main. Celui de droite était plus grand que l'autre. Vladimir savait qui ils étaient et regarda avec un air provocateur; ils avaient un compte a rendre. Les deux garçons commencèrent a rire et donnèrent un cop de poing sur l'épaule de Valdimir.

- Yo ! J'espère que tu as ce qu'on demande ! dit le plus grand avec un faux sourire.

- Je vous ai déjà dit que j'avais rien a vous donner, répliqua Vladimir d'un ton neutre.

Le plus grand des deux garçons poussa Vladimir contre le mur de briques. Il attrapa le collet de son gilet et le fixa droit dans les yeux. Le plus petit le frappa dans l'estomac et les deux rirent. Celui qui le tenait par le haut du kangourou mis le couteau qu'il avait dans la main et le mis sur le cou du jeune homme. Il répéta doucement;

- J'espère que tu as ce qu'on demande...

Vladimir savait que s'il disait << non >>, il ferais face aux conséquences. D'un autre côté, il n'avait pas ce que les deux autres jeunes hommes demandaient. il fit un signe négative de la tête et ferma ses yeux. Le premier coup lui écrasa l'estomac et lui coupa le souffle. Le deuxième lui arriva a la figure aussi rapidement. Les coups de poing et de pieds continuèrent de lui briser les côtes.

***

Mickael conduisait son 4 roues au milieu de la forêt. Il avait décidé de quitter la maison tôt et sans la permission de ses parents. Le sol était caillouteux et l'engin commençait a tanguer. Toutefois, Mickael était capable de passer a travers de la forêt. Arrivé au pit de sable, ile accéléra et escalada de petite montagnes de sable. La première montagne de sable était de taille moyenne et il arriva au sommet facilement. La boue éclaboussait son casque et ses vêtements. Il fit un sourire et aperçu la plus grosse des montagnes de sable qui se trouvait dans le pit. Elle mesurait environ 25 pieds de haut et était très a pic.

Cette montagne, c'était toute une épreuve pour lui. Il n'avait jamais escaladé une si haute montagne et n'allait pas reculer. Il tourna dans sa direction et roula plus vite. Il roula de plus en plus vite jusqu'a ce qu'il arrive au bas de la pyramide de sable. A partir de ce moment, il poussa le 4 roues a vitesse maximal et, = il avait franchit le quart. Ceux-ci furent facile, mais plus la distance était longue, plus difficile c'était. Il vit le haut de la montagne et se pencha en avant. Soudain, son pied droit, a cause de son poids qui le tirait vers le bas, tomba sur le côté et n'eut plus d'appuie. Il perdit son ballant et commença a tomber ver l'arrière. Des cris voulait sortir, mais restait pris dans sa gorge a cause de la panique. Son corps tomba durement sur le sol et roula vers le bas de la montagne.

Finalement, un cris de douleur sorti de sa bouche, mais personne pour l'entendre. Il continua de rouler et le 4 roues se dirigeait sur lui. Environ au milieu, l'engin s'écrasa rapidement sur sa tête. Son corps était coincé entre le véhicule et le sable et sa tête frappa une des roues. Mickael arriva finalement au bas de la côte et resta la, immobile et la tête en sang.

Le sable humide touchait son oeil ouvert gauche et la couleur de la vie ne semblait plus aussi claire qu'il y avait quelques minutes. Il était incapable de penser ou de ressentir quelque chose. Ses muscles était détendu et son battement de coeur devint plus lent a chaque secondes. Dix secondes plus tard, il ne vit que du noir...

***

Opaline était allongée sur le lit d'hôpital, les bras le long du cops et les yeux fermé. Plusieurs personnes occupaient le tour du lit et certains avaient les larmes aux yeux, sachant la fin de ce moment. La petite fille n'avait plus de chevaux et devenait de plus en plus faible chaque jour. Son corps fragile et mince ne bougeait plus depuis plusieurs jour et un mince tuyau était rattaché a son nez pour l'aider a respirer. Cela faisait plusieurs mois que Opaline habitait maintenant l'hôpital et mourait a petit feu. Quelques années plus tôt, les docteurs avaient annoncé a sa famille la triste nouvelle de son cancer. La chimiothérapie et la médecine avaient été les derniers espoirs, mais ils n'avaient pas fonctionné comme prévu. La petite fille ouvrit faiblement les yeux et fixa sa mère qui était, elle, en pleure. Celle-ci pris la main de son enfant dans la sienne et se rapprocha pour lui murmurer peut-être ses derniers mots.

-Ma petite fille...Je me souviens la première fois que je t'ai vue. Comment tu était si fragile et petite...Tes premiers cris et tes larmes...La première fois que je t'ai prise dans mes bras...Je me souviens ton premier noel et le sourire si heureux que tu m'as fait...

Elle pleura de plus belle et eut quelques hoquet. Tout le monde autour du lit suivi son exemple. Opaline referma les yeux malgré elle. Elle ne pouvait pas voir, mais, au plus profond d'elle, la vie s'accrochait pour une dernière fois et elle ressentait la tristesse des autres. La machine qui montrait son rythme cardiaque ralentissait a chaque seconde jusqu'a s'éteindre finalement. Opaline se sentit partir, entendant les pleures de sa famille de plus en plus loin dans sa tête.